40 après les débuts de l’épidémie de VIH, qui a fait plus de 30 millions de morts-es dans le monde, nous disposons aujourd’hui de tous les outils nécessaire pour y mettre un  terme.  En France, en 2020, les clés de la fin de l’épidémie seront l’accès  de tous-tes à ces outils de prévention diversifiée, au dépistage et à l’accompagnement en santé.  Une offre proposée par les centres de santé  sexuelle, maillons indispensables de la lutte contre le VIH/sida.Pour financer un nouveau centre de santé sexuelle et ainsi accélérer la fin de l’épidémie, AIDES dévoilera les 10, 11 et 12 juin prochain #fetelamour : l’événement (cul)turel 100% digital qui mobilise 70 artistes & personnalités pour collecter les 200 000 euros nécessaires à ce financement.

40 ans après ses débuts, la fin de l’épidémie de VIH n’a jamais été aussi proche : avec la multiplicité des outils de prévention disponibles et l’accessibilité aux traitements tout est prêt pour briser, définitivement, la courbe des contaminations et atteindre un objectif : 2030 sans sida !

Pour atteindre cet objectif fixé par l’ONUSIDA, AIDES agit quotidiennement pour rendre accessibles la prévention et le soin à tous-tes, notamment avec les centres de santé sexuelle communautaires, les SPOTS. Aurélien Beaucamp, Président de AIDES, explique :

« Nous le savons, ces centres sont une réponse  nécessaire dans la lutte contre le VIH/sida puisqu’ils permettent à des personnes éloignées des parcours de soin classique d’accéder à la prévention, aux tests et aux soins. »

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