Sea, sex and…prévention cet été !
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Bonbons, chlamydia, beignets, syphilis, glace à l’eau, gonorrhée… Cherchez l’intrus ! Qu’on parte à l’autre bout du monde ou au bout de la rue, les vacances d’été sont une période propice aux rencontres, aux expérimentations… et aux IST ! Mais comme chaque année, AIDES est à vos côtés pour vous protéger !
Si nous sommes si attachés-es aux vacances d’été, c’est sans doute souvent parce qu’elles respirent encore le vent d’insouciance qui soufflait sur ces deux mois de liberté pendant notre scolarité. En juillet et en août, les températures grimpent, les peaux se dénudent et tout peut arriver… Premières fois, rencontres passagères ou amours de vacances, il y en a pour tous-tes !
Mais l’été c’est aussi la saison du relâchement en termes de prévention, c’est pourquoi AIDES reste mobilisée et vient même vous rencontrer sur les plages de Martinique, d’Occitanie, de Provence ou encore de Nouvelle-Aquitaine ! Distribution de préservatifs et de lubrifiant, proposition de dépistage, organisation d’apéros où l’on parle prévention tout en partageant un moment de convivialité : tout est fait pour que les belles rencontres n’aient pas des lendemains qui déchantent. En parallèle, nos lieux de mobilisation restent ouverts partout en France (cliquez ici pour trouver le vôtre) et les actions se poursuivent sur le terrain.
Comme toujours, le but est de promouvoir ce qu’on appelle la prévention combinée, c’est à dire un éventail d’outils de prévention qui permettent de se protéger ainsi que notre ou nos partenaire-s.
Si on connaît désormais très bien les préservatifs (à utiliser avec du gel lubrifiant pour plus de confort ET de sécurité), la Prep (prise d’un traitement par les personnes séronégatives pour se protéger du risque VIH), le TPE (traitement post-exposition, disponible aux urgences de n’importe quel hôpital) et le TasP (prise d’un traitement par les personnes séropositives pour contrôler le virus et ne plus le transmettre) restent encore largement méconnus. Pas toujours évident non plus d’intégrer un dépistage régulier dans l’idée que l’on peut se faire de la prévention, et pourtant c’est un outil clé : plus on dépiste tôt, plus la prise en charge (traitement voire guérison en fonction des IST) va être efficace. Une fois dépisté-e, on peut prendre soin de sa santé… et de celle des autres, en les prévenant d’une éventuelle infection et en adaptant ses pratiques et ses moyens de prévention.
Le principal, c’est de pouvoir choisir le ou les outils qui nous convien-nen-t pour passer un bel été très chaud et protégé-e !